VOILÀ donc Horace engagé dans le chemin de la vertu, étroit et âpre sentier. Qu'il s'y maintienne sans trébucher, un si beau résultat ne s'obtient pas du premier coup. Mais que vers la même époque (1), dans l'épître 4, il fasse une profession de foi nettement contraire aux sentiments qu'il exprime dans l'épître 1 ; qu'il se range parmi les porcs du troupeau d'Epicure, se réjouissant d'être gros et gras et d'avoir la peau luisante; qu'il se donne ainsi comme le représentant d'un très bas sensualisme, c'est tout de même, s'il faut le prendre au mot, une étrange volte-face. Or on l'a pris au mot très souvent, et l'on abuse contre lui d’une saillie de belle humeur, aisément explicable par l'occasion qui l'a provoquée.
Je ne parle pas du procédé qui consiste à détacher le passage du contexte pour le considérer isolément, sans s'occuper des circonstances de la pièce ni du destinataire auquel elle s'adresse ; on fait dire à une citation tronquée tout ce qu'on veut. Mais M. Cartault lui-même, malgré sa sûreté de discussion habituelle, me paraît encore interpréter beaucoup trop sérieusement ce qui, je le répète, n'est qu'une plaisanterie. Peut-on reconnaître avec lui dans le fameux Epicuri de grege porcum « l'expression d'une conviction très enracinée chez Horace et ici parfaitement en situation, qu'il vaut mieux s'amuser même d'une façon un peu vulgaire que de languir en contant tristement sa peine aux arbres des forêts » ? (2), D'abord, si M. Cartault a raison, les termes dont il se sert sont trop faibles; l'invitation à vivre comme le pourceau, l'animal ami de la boue (amica luto sus) (3), est en soi une invitation au plaisir franchement grossier, et non pas seulement au plaisir « un peu vulgaire » ; il faut l'intention railleuse pour en atténuer la portée (4). De plus « la conviction très enracinée chez Horace » qu'il faut s'amuser de cette sorte, à supposer qu'elle ait existé autrefois (et cela même est peut-être une question), n'existe plus à l'époque où nous sommes : tout le début de ce chapitre a tendu à le montrer. Comment Horace aurait-il affiché pour son compte des principes en contradiction trop choquante avec ses sentiments actuels ? Reste qu'à la fin de l'épître 4, comme à la fin de l'épître 1 et de beaucoup de ses œuvres, il ait voulu plaisanter. De même qu'il recherche ailleurs les débuts à surprise, il a du goût pour les fins brusquement plaisantes. Seulement sa plaisanterie, d'ordinaire, s'en tient au sourire; cette fois il ne craint pas d'aller, jusqu'au rire, et au rire même un peu gros. Il force la note, il exagère. Pourquoi, sinon pour mieux atteindre son but, qui est d'égayer un mélancolique qu'une demi-raillerie laisserait indifférent? Cette exagération même, si rare, nous avertit de la valeur exacte qu'il faut attribuer au passage. Nous avons raisonné comme si Horace avait affaire à un mélancolique, et nous avons admis la mélancolie du destinataire comme si ce destinataire était le poète Tibulle. Deux questions se posent donc : Est-ce bien à Tibulle qu'Horace écrit l'épître 4 ? La mélancolie de Tibulle était-elle si profonde qu'Horace, pour la combattre, dût se départir de sa finesse et de sa mesure habituelles ?
Sur le premier point, M. Cartault a fait la lumière (5) : mettons-nous à sa suite. Quoique la pièce soit simplement adressée à un certain Albius, sans désignation plus complète, on ne peut guère douter qu'il ne s'agisse d'Albius Tibullus, comme dans l'ode I, 33, où le personnage était également appelé du seul nom au vocatif, Albi. Tous les détails donnés par Horace s'expliquent sans difficulté par les renseignements d'autre source que nous avons sur Tibulle. La concordance est trop précise pour être uniquement fortuite. Par exemple, l'Albius de l'épître nous est présenté comme un loyal et bienveillant appréciateur des Sermones (v.1). Or Tibulle, dont le mérite essentiel est d'être vrai, de chanter naïvement dans ses élégies ce qu'il éprouve, devait être tout porté à aimer la franchise et la vérité chez les autres. Qu'une œuvre où son ami avait dit leur fait aux vicieux, il l'ait défendue contre les hypocrites, les gens à l'âme perfide et noire qui feignaient de se scandaliser (6), rien de sa part n'était plus naturel. N'appartenait-il pas d'ailleurs au cercle de Messala, où l'on avait toujours soutenu Horace et ses satires (7) ?
Puis, quand Horace lui écrit, Albius est installé aux champs, dans la région de Pedum, entre Tibur et Préneste ; il erre, flâneur et rêveur, parmi les bois qui couvrent les pentes des collines. Cet amour de la campagne est précisément une des inspirations dominantes de la poésie de Tibulle. Tibulle a des origines rurales ; il est né, il a grandi tout au moins sur la terre de famille ; des choses de la nature il a reçu ces premières impressions d'enfance qui ne s'oublient pas. Plus tard, il est vrai, il s'est laissé prendre aux séductions de Rome, car il est enclin à la volupté et le plaisir l'attire ; mais comme il n'a rencontré à la ville que des occasions de souffrance, déceptions de l'amour, tortures de la jalousie, il s'est retourné vers la campagne; il espère qu'elle pourra lui donner la paix et le consoler des trahisons de l'infidèle. Vain espoir toutefois: il emporte maintenant l'amour au fond de sa poitrine et ne goûtera plus de complet bonheur. Revenu sur son domaine, il semble d'abord joyeux de se mêler aux travaux de la ferme, de voir régner autour de lui l'activité féconde, d'assister aux fêtes des paysans, d'honorer les dieux rustiques. Mais l'image de Délie continue à l'obséder. Ah ! si Délie avait consenti à le suivre ! Comme il serait charmant de la voir aller et venir, s'occupant des gerbes dans la grange, du raisin dans la cuve, du troupeau à l'étable (8) ! Comme il serait doux aussi de la tenir la nuit entre ses bras, lorsque le vent souffle au dehors (9) Quelle existence ils mèneraient tous deux, loin du monde jaloux ! Quel rêve !... Délie n'a pas voulu faire du rêve une réalité ; petite personne positive, elle a préféré abandonner le poète. Après Délie, c'est une autre femme, à laquelle Tibulle s'est livré plus passionnément encore, et qui le trompe de nouveau. Et de nouveau, seul de retour dans sa maison des champs, il gémit de n'y pouvoir associer son destin à celui de la bien-aimée.
Est-il interdit de penser que la lettre d'Horace lui a été écrite pendant une de ces périodes découragées qui ont rempli sa vie sentimentale ? L'épître 4 ne saurait être considérée à part de l'ode l, 33 (10). Or, dans celle-ci, les causes d'affliction ne sont point obscures. Tibulle a été trahi par Glycère, sans doute la maîtresse inconnue de tout à l'heure, et Horace a essayé de le réconforter de son mieux. Y a-t-il réussi ? On peut en douter, puisque Tibulle, obstinément retiré à Pedum, paraît s'enfermer toujours dans sa tristesse. A la longue, ses amis de Rome s'étonnent de n'avoir point de nouvelles, et Horace avec eux. Il lui envoie un billet pour lui demander ce qu'il devient. Comment passe-t-il son temps là-bas, dans sa solitude champêtre ? Ferait-il des tragédies par hasard ? ou de la philosophie, grands dieux ? Chercherait-il à surpasser Cassius de Parme, ou s'efforcerait-il de devenir un sage (v. 2-5) ? Deux hypothèses qui sont aussi invraisemblables l'une que l’autre ; et c'est bien pourquoi Horace les formule; il voudrait amuser son lecteur. Naguère dans l'ode qu'il lui adressait, en l'exhortant à modérer un chagrin, vraiment excessif à propos d'une banale aventure et d'une femme médiocre, il lui avait parlé le langage de la raison ; il ne l'avait pas convaincu. Il prend maintenant une autre voie et tâche par son épître de l'égayer, en supposant des choses plaisamment impossibles. Si les vers 3 et 5 Scribere quod Cassi Parmensis opuscula vincat et Curantem quidquid dignum sapiente bonoque est ont paru ne pas convenir à Tibulle, qui n'a jamais eu en effet de préoccupations ni dramatiques ni philosophiques, c'est qu'on s'avisait de les prendre au sérieux. Mais ils lui conviennent, entendus au sens et dans l'esprit que je viens d'indiquer.
On s'appuie quelquefois sur une scolie du pseudo-Acron pour expliquer le vers 3 autrement que je ne fais (11). D'après cette scolie, Cassius de Parme serait un poète à l'inspiration variée, qui aurait, outre ses tragédies, composé des épigrammes et des élégies. Horace a pu, en ce cas, demander très sérieusement à Tibulle, s'il ne rivalisait pas avec un devancier qui s'était exercé dans le même genre que lui. Par malheur le renseignement du scoliaste a de grandes chances d'être inexact, Il semble avoir été imaginé de toutes pièces pour rendre compte justement de ce difficile passage. On se sera dit que Cassius de Parme devait être un élégiaque, puisque Horace le rapprochait de Tibulle, comme on s'est dit aussi que Tibulle devait avoir écrit sur la philosophie, puisque Horace parlait de ses méditations solitaires sur la sagesse : Albius iste criticus fuit, poeta et scriptor philosophiae. L'étrangeté de cette seconde assertion donne la mesure de la confiance qu'on peut avoir dans le premier témoignage, C'est Porphyrion qui a raison, quand il n'attribue à Cassius de Parme que des tragédies (12) ; et si Cassius de Parme a été seulement un auteur tragique, nous sommes conduits à garder l'interprétation que je proposais précédemment.
M. Cartault a très heureusement saisi dans le vers 3 l'intention plaisante. Pourquoi s'est-il arrêté en si bon chemin ? Plaisante également est l'intention du vers 5, où Tibulle est soupçonné de devenir philosophe ; plaisante encore plus, celle du vers 16 où Horace se dit transformé en pourceau d'Épicure. En passant de l'un à l'autre, du destinataire à l'auteur de la lettre, la plaisanterie est allée crescendo. Discrète au début, elle s'est accusée, étalée, épanouie, d'une façon même assez grossière, dans la dernière phrase. C'est qu'aussi bien c'étaient les derniers mots ; il fallait éclater sur le trait de la fin. Quant au milieu de l'épître, Horace l'a réservé aux arguments sérieux ; il y expose les raisons que son ami aurait d'être heureux. L'ami a tout pour lui, les grâces extérieures, les talents, de l'esprit, la fortune ou, du moins, l'aisance avec l'art d'en jouir, la faveur du monde, la réputation, la santé (v. 6-12). (Tous ces traits, remarquons-le encore, s'appliquent à Tibulle, M. Cartault ayant fait justice du préjugé sur sa pauvreté ou sa gêne et de la tradition sur sa santé chancelante (13) : notre identification de l'ami avec le poète élégiaque s'en trouve confirmée.) Que lui manque-t-il donc ? Rien, sinon la paix de l'âme. Mais sans cette paix, point de vrai bonheur ; sans elle, tout est vain. Tibulle en a fait l'expérience.
Nous voici en présence de la seconde question que nous nous étions posée: jusqu'à quel point Tibulle était-il mélancolique ? Nous venons de répondre, semble-t-il; sa mélancolie avait des racines au fond même de son âme. M. Cartault n'en juge point ainsi. Pour lui Tibulle a ses moments de mélancolie quand ses affaires d'amour sont compromises ou qu'une maladie passagère éveille en son esprit l'idée de la mort (14) ; mais il sait aussi, à ses heures, être un joyeux compagnon (15), un poète gaillard (16) ; il a parfois de la vivacité satirique (17), de l'humour (18). La tristesse que suppose l'épître 4 serait donc superficielle, déterminée par une occasion spéciale, la trahison récente encore de Glycère; et le temps à lui seul se chargerait de l'atténuer. La lettre, conclut M. Cartault, « arriva sans doute à un moment où Tibulle commençait à se consoler et pensait à reprendre ses anciennes habitudes (19) ».
Je n'en suis pas si sûr. Tibulle paraît avoir été une de ces âmes difficilement consolables, destinées à souffrir toujours, parce qu'un rien les blesse dans la vie et que chacun de leurs chagrins est hors de proportion avec la cause qui l'a fait naître. C'était un sensible qui prenait tout au tragique. C'était aussi une volonté molle et indécise. Les sentiments contraires se heurtent en lui. Il a un goût très vif de la campagne, il souhaite d'y vivre; et cependant la ville le séduit bien souvent et le retient. Il semble fait pour le bonheur domestique, qu'il comprend et qu'il aime, et il gâche son existence avec des maîtresses indignes de lui. Tour à tour, ou presque en même temps, l'agitation de Rome et le calme de son domaine rustique, les joies ordonnées de la famille et les amours irrégulières sont l'objet de ses désirs; il ne sait trop, en réalité, ce qu'il veut, ou plutôt il veut être là surtout, où il n'est pas. Nature donc peu équilibrée, inquiète, songeuse et douloureuse. Comment aurait-il eu « un fond de gaieté ? » Il est quelquefois amer et sarcastique, quelquefois pathétique et véhément, car c'est un passionné ; il n'est pas gai. Il s'en faut que les hommes de plaisir soient toujours des hommes joyeux. Rien de plus triste, au contraire, que la volupté, dès qu'elle cesse d'être insouciante et légère. Tibulle, esclave de ses sens, apportait au plaisir quelque chose d'ardent à la fois et de sombre. Quand, dans l'élégie I, 6, il offre au mari trompé de lui confier à lui-même la surveillance de la belle, le motif, qui pouvait être plaisant, n'amène sur ses lèvres qu'un faible sourire; et si l'on compare l'élégie I, 4, où Priape lui apprend la manière de se concilier les faveurs des beaux adolescents, avec la satire II, 5, de cadre analogue, où Tirésias enseigne à Ulysse l'art de capter les testaments, on s'aperçoit combien nous sommes loin de la fantaisie et de l'amusante ironie d'Horace. Tandis que Tirésias reste majestueusement comique et, sous son air de hautaine indifférence, poursuit sa moquerie jusqu'au bout, Priape tourne aussitôt au sérieux, s'emporte et maudit, dans un accès de sincère indignation, les jeunes garçons qui vendent leur amour.
Nous touchons ici la différence des deux tempéraments : d'une part Horace optimiste, acceptant par avance ce que le sort lui réserve, et fermement décidé à y trouver des raisons d'être heureux; de l'autre, le rêveur, le sensible, le mélancolique Tibulle, meurtri plus ou moins par tous les accidents de la vie. L'opposition est frappante. Ce qui n'empêchait pas Horace d'aimer beaucoup Tibulle. Il l'aimait pour ses qualités et ses faiblesses mêmes, pour ce qu'il y avait de séduisant en lui, spontanéité vibrante et tendresse affectueuse, franchise, loyauté, sincérité avec soi-même et avec autrui (candor), et aussi pour sa jeunesse exaltée, irréfléchie, imprévoyante: Horace arrivait à l'âge où l'on devient toujours un peu, même malgré soi, donneur de conseils et où l'on veut, par une louable intention, mettre au service de ses cadets l'expérience de ses années plus nombreuses.
Les conseils qu'il lui donne sont, avec beaucoup de sagacité, appropriés aux besoins intellectuels et moraux de son correspondant: nous aurons souvent à relever ce mérite des Épîtres. Il lui propose d'abord une règle de pensée; qu'il n'attache pas trop d'importance aux choses et, pour cela, qu'il songe à la mort, laquelle remet tout au point; qu'il regarde chaque jour de sa vie comme le dernier qu'il ait à vivre ; il cessera ainsi de désirer ou de craindre; il aura la surprise agréable d'un lendemain inattendu (v. 12-14). Il lui propose ensuite une règle d'action: ne pas rester replié sur soi, absorbé dans son chagrin, mais rentrer dans le monde et retourner auprès des amis dont la fréquentation l'arrachera, à ses idées noires. Qu'il vienne voir Horace par exemple (v.15). Horace, de sa nature, n'engendre pas la mélancolie ; mais pour faire du bien à ce cœur en peine, il se montrera encore meilleur vivant et plus joyeux compère qu’il n'est réellement; il exagérera son insouciance et son détachement de toutes choses. Court-on risque à exagérer avec un Tibulle ? L'exagération en la circonstance n'est qu'un contrepoids. Et c'est ainsi qu'Horace se déclare épicurien (ce qu'il n'est plus ou, du moins, n'est plus qu'avec réserves), et se déclare même épicurien grossier et pourceau d'Épicure (ce qu'il n'a jamais été).
Telle est cette épître, simple billet de seize vers, mais billet charmant par la vivacité de l'affection, je dirai : presque touchant par la peine que prend Horace pour mettre un peu de gaieté dans une âme malade. Alors, n'y a-t-il pas quelque injustice à retenir contre lui la plaisanterie de la fin, un peu forte évidemment, mais qui lui a été suggérée par une intention délicate, et qui n'est point l'expression de sa pensée ? Les mots importants, remarquons-le, sont cum ridere voles. Il est un pourceau d'Épicure, mais avec ceux qui veulent rire, avec ceux qu’il faut amuser, c'est-à-dire qu'il ne l’est pas avec tout le monde, c'est-à-dire encore qu'il ne l'est pas réellement, et que tout cela n'est pas sérieux.
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(1) Voir l’appendice chronologique.
(2) Cartault, Tibulle, p. 29.
(3) Ep. I, 2, 26
(4) On a beau dire que les Romains n'étaient pas si délicats, et qu'un mot, brutal pour nous, n'avait pas pour eux la même force.
Quand Cicéron traitait Pison d'une manière analogue : Epicure noster ex hara producte, non ex schola (in Pison., 16, 37), il entendait
frapper fort, asséner un bon coup; et tout le monde le comprenait ainsi.
(5) Cartault, Tibulle, p. 26 et suiv.
(6) Horace les appelle justement nigri (Sat. I, 4, 91). Cette catégorie s'oppose aux candidi comme Tibulle (Ep. l, 4, 1), aux âmes
blanches ouvertes, sans détours ni arrière-pensées.
(7) Sat. I, 10, 85
(8) Tibull., I, 5, 21 sqq.
(9) Tibull., I, 1, 45-46
(10) Voir Cartault, Tibulle, p. 24-26.
(11) Lejay, éd. petit in-16, p. 469, n. 3.
(12) M. Cartault fait remarquer (Tibulle, p. 27) que le mot opuscula dont s'est servi Horace (v. 3), « peut s'appliquer à des tragédies
de cabinet, qui comptaient 1000 à 1200 vers ». Horace peut aussi avoir employé ce diminutif « avec un certain dédain; il n'admirait
pas beaucoup les essais sans valeur de Cassius de Parme».
(13) Cartault, ouv. cit., p. 8-11.
(14) Ibid., p. 10 et 51.
(15) Ibid., p. 27.
(16) Ibid., p. 11.
(17) Ibid., p. 128.
(18) Ibid., p. 29.
(19) Ibid., p. 30.